Les jeunes diplômés ont des attentes trop élevées concernant leur avenir professionnel. L’accès au premier emploi durable est un enjeu individuel pour les jeunes, mais durant les dernières années la crise a eu un effet négatif dans certains secteurs professionnels.
Aujourd’hui les critères de recrutement sont évolués, au profit des langues, de l’informatique, du développement personnel entre autres.
Les métiers les plus cherchés sont ceux de l’aéronautique, de l’information/ numérique, de la défense, la banque/ finance, la santé/ pharma, l’énergie, l’agroalimentaire, l’industrie, l’hôtellerie/restauration/tourisme. . . Sans oublier les métiers d’avenir.
Sans doute il faut favoriser les stages les petits boulots, les cursus en alternance, les contrats d’apprentissage, les périodes en milieu professionnel, le parrainage, et les contrats d’insertion professionnelle.
En Italie l’école commence par l’école primaire ( 5 ans), puis le collège ( 3 ans), ensuite le lycée, les instituts techniques ou professionnels ( 5 ans). Ensuite chaque étudiant peut faire des études supérieures à l’université ou écoles spécialisés ( classiques, scientifiques, linguistiques, artistiques, musicales).
En général les études sont équivalentes aux françaises. La différence la plus évidente c’est entre le nombre d’années d’études au collège et au lycée.
En 2010 selon l’Eurostat il y avait:
14.5% d’étudiants en lettre &arts, 33.8% en sciences sociales , commerce & droit, 7.7% en sciences, mathématiques & informatique, 15.7% en ingénierie, 2.1% en agriculture & sciences vétérinaires, 11.6% en santé & protection sociale, 2.8% dans les services, sur un total de 1980 milliers d’étudiants en Italie.
